Les Derniers des Branleurs : revue de presse
28 juillet 2020 par Vincent Mondiot
« [Le jeune romancier] a le don de jongler avec l’argot 2020 (vert, très vert !), à en devenir un poète. »
Le Monde
« Le génie est dans les détails, les fulgurances, les pépites, comme cette inénarrable discussion sur la sexualité des Schtroumpfs… »
Télérama
« On kiffe ce livre au réalisme cru, et sur lequel souffle un grand vent punk. »
Livres Hebdo
« Les dialogues, drôles, incisifs, saupoudrés d’un vocabulaire fleuri, et servis avec une riche pôelée de culture populaire, donnent la saveur d’authenticité des grands romans. Ceux qui comptent. »
Citrouille – La revue des librairies Sorcières
« J’aurais été tellement heureuse de découvrir ce roman à 15 ans, je pense que je le trimballerais partout avec moi, il serait corné, annoté dans tous les sens. »
La Dernière Scène
« Quatre ados touchants, qui portent sur leurs épaules le poids de l’adolescence, du sens de la vie, du futur indécent de cette génération sans avenir. J’ai retrouvé mon moi de 17 ans à travers ces pages, avec nostalgie et humour à la fois. J’ai retrouvé cet espoir qui accompagne la fin du lycée, le début de la vie, la vraie. »
Pénélope Ronis
« Les dialogues d’une grande justesse, drôles, inventifs, les notes dans la marge qui ponctuent tout le roman font de ce gros livre, un page-turner qui se dévore. »
Allonz’Enfants
« Très vite le lecteur s’attache à ces anti-héros plus proches des Beaux gosses que des ados de La Fureur de vivre. »
Livresse
« Un beau roman contemporain, au réalisme cru et désenchanté, une voix singulière à écouter. Mondiot a fait ce livre dont Salinger parlait : « un livre qu’on n’arrive pas à lâcher et quand on l’a fini, on voudrait que l’auteur soit un copain, un super-copain et on lui téléphonerait chaque fois qu’on en aurait envie. » »
Enfantillages
« Vincent Mondiot maîtrise si bien la psychologie de ses personnages qu’on a le sentiment que, si on se pointe à Paris, on pourra les croiser et manger un kebab avec eux. »
Ombre Bones – Chroniques de l’imaginaire
« Vincent Mondiot ne donne pas dans le portrait de groupe caricatural, il dépeint des individus, tous différents, portant chacun un regard sur le monde d’une grande (et douloureuse) lucidité. »
D’une berge à l’autre
« On se prend d’affection pour Chloé, Gaspard et Minh Tuan, et l’on en vient à regretter que « Janvier », le dernier chapitre, ne soit pas le début d’un second volume… »
Serialblogueuses
« Culotté et résolument ancré dans notre époque, Les derniers des branleurs est une véritable radioscopie de la jeunesse actuelle. »
La Bibliothèque de Noukette
« A travers un récit sans concession de jeunes désabusés et sans rêve, l’auteur dresse un tableau un brin nostalgique sur ce passage entre le lycée et le « reste de sa vie ». »
Miss Respire
« Irrévérencieux – Tapageur – Sensible »
Librairie L’Etincelle
« Je ne suis pas prête d’oublier ces ados qui m’ont procuré tant d’émotions intenses. »
Book En Stock
« Indubitablement le roman qui raconte l’adolescence d’aujourd’hui, qui le fait avec un humour corrosif et cru, mais avec surtout beaucoup de tendresse. »
Bob et Jean-Michel
« Vincent Mondiot aborde cette dernière année de lycée avec un œil acéré, un humour dramatique et une ouverture d’esprit totalement irréprochable. »
Les Miss Chocolatine Bouquinent
« Le roman pour adolescents Les Derniers des branleurs a été distingué par le Prix vendredi, qui est un peu une sorte de « Goncourt de la jeunesse ». Un prix bien mérité car elle nous a bien plus cette comédie insolente et sensible. »
Baz’art
« Juré, si toi, lecteur•trice, tu l’as passé y a quelques années, ce foutu bac, et que tu te prends à repenser à tes années lycée, il va va te donner un drôle de sentiment de nostalgie. »
Lucille, de La Rondes Des Livres
« Il dit beaucoup de ces ados qu’on voit finalement peu dans les romans : les losers, branleurs ou simplement les « à côté ». Et toujours dans cette écriture brute, un peu rude qu’on aime retrouver chez lui. »
Hélène Goelen
« J’ai beaucoup aimé ce roman, la description de l’adolescence et son mal-être ambiant qui colle à la peau, les relations familiales complexes et son atmosphère sombre. »
My Touch 88
« Je voudrais saluer le talent de Vincent Mondiot qui a su formidablement fixer ce moment presque imperceptible de l’adolescence dans la recherche de son mouvement… Qui m’a ému. »
Alithe_Nancy
« Un roman qui, malgré ses airs ados, aborde de nombreux sujets de société et ne se cache pas derrière un masque. C’est cru, c’est vrai, c’est actuel, ça parle de sexe, de drogue, de triche. Mais en même temps, vous vous attendiez à quoi ? Le titre comporte déjà le mot ‘branleurs’. »
A Touch of Blue… Marine
« L’auteur a ponctué son roman de mots dans la marge, définitions ironiques, explications en contrepoint, commentaires politiques voire excroissances du récit, qui lui donnent une drôle d’allure, parfois universitaire, toujours bourgeonnante, suggérant l’existence d’histoires et de vies parallèles à celles qu’il décrit, auxquelles nous aurions échappé. Remords d’intrigues ou de personnages abandonnés en route, manières aussi de signifier, façon Magritte, « ceci n’est pas une fiction » ? »
Litté’Jeune
« C’est très, très drôle, les notes en marge, très nombreuses expliquent de façon docte leur monde, leur culture, leurs manies, comme si c’était une peuplade étrange à faire découvrir au lecteur. »
Li & Je
« Un moment charnière avant le grand saut dans le monde d’après, décrit sans angélisme et qui sonne vrai… »
Opalivres
« Vincent Mondiot nous offre de sacrés personnages. Le lecteur les aime, peut se reconnaître, prendre fait et cause pour eux, malgré leurs paroles et aussi leurs actes. »
Livres à Profusion
« Beaucoup de thèmes sont évoqués de manière réaliste, ce qui en fait un roman prenant et percutant. »
Les Lectures de Claudia
« Une lecture en demi-teinte donc mais à côté de laquelle je ne me serais pas vraiment vue passer. Paradoxal. »
HashtagCéline
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[…] proche, ai-je envie de dire sans trop d’humilité, de ce que j’ai essayé de faire dans Les Derniers des branleurs. Ils sont ces ados assez intelligents pour savoir qu’ils sont impuissants, mais trop cons […]